Terre.
14 jeudi Sep 2017
Posted Non classé, sylvain tesson
in14 jeudi Sep 2017
Posted Non classé, sylvain tesson
in07 jeudi Sep 2017
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inLe désert, c’est aussi l’apprentissage de la soustraction. Deux litres et demi d’eau par personne et par jour, une nourriture frugale, quelques livres, peu de paroles. Les veillées du soir sont consacrées aux légendes, aux contes, au rire. Le reste appartient à la méditation, au spirituel. Le cerveau met le cap en avant. Nous sommes enfin débarrassés des futilités, des inutilités, des bavardages. L’homme, cette étincelle entre deux gouffres, trace ici un chemin qui s’effacera après son passage (…). Theodore Monod.
03 dimanche Sep 2017
03 dimanche Sep 2017
L’incertitude était là, tapie, dans l’ombre de ses pensées, redoutable, rampante et surprenante, surgissant à la moindre idée.
D’abord frustré, haineux envers elle, il avait appris à s’accommoder de son existence près de lui. Elle, qui guettait le moindre de ses actes.
Puis, avec le temps, Il avait réussi à lui donner une raison d’être. La vérité était indéniable et accablante : c’était grâce à elle, qu’il forgeait ses convictions.